15 Septembre 2016
Le 11 septembre 2016, j’ai lu sur votre blog, un article intitulé « Arabie-Saoudite : Des activites menacés d’expulsion sur ordre d’Abakar Almana ». Parcourant l’article, je me rends compte que loin de défendre nos frères exilés en Arabie Saoudite, qui au péril de leur vie, dénoncent les exactions du régime en place, ce torchon de texte, vise tout simplement discréditer le patron du groupe Almana, M. Abakar Taher Souleymane, un homme dont les actions en faveur du développement dans notre pays sont palpables et encourageantes.
Si j’ai bonne mémoire, sur ce même blog, beaucoup d’autres individus en mal de réputation, issues de la même région qu’Almana, c’est à dire le Barh-El-Gazal, ont actionné des pamphlets qui sont tout, sauf des articles objectifs et sérieux. Evidement, on comprend aisément, l’intention de ces personnes, qui faut-il l’affirmer, ont bénéficié, d’une manière ou d’une autre, des largesses de ce celui qu’elles traitent de tous les noms d’oiseaux aujourd’hui. La haine, la jalousie, l’ingratitude, bref, toutes les animosités qui les hantent et les ôtent le sommeil. Ces aigris, qui n’ont autre solution que de vomir leurs venins sur le net ou dans les journaux de la place, veulent à tout prix, obtenir la disgrâce de leur corégionnaire auprès du chef de l’Etat M. Idriss Déby Itno. Mais puisque le mensonge a une durée de vie limitée, la vérité finit par la rattraper. Depuis des années, leur chanson n’a pas changé. « Almana est mauvais », « Almana le corrupteur », etc... Heureusement que ceux auprès de qui ils vilipendent ce monsieur n’ont pas la myopie. Ils savent au moins qui est bon, et qui ne l’est pas. Ironie du sort, ce sont ces aigris-là toujours qui arpentent les murs de Klemat, de jour comme de nuit, en quête d’une quelconque rencontre avec le sieur.
De toutes les fausses histoires racontées sur Abakar Taher, il y a une qui retient mon attention. La construction du siège de l’Office national des radio et télévision du Tchad (ONRTV). Ses détracteurs ont sur ce même site, dit qu’il n’arrivera pas à finaliser ce chantier. Aujourd’hui, je pense que ceux-là doivent se bander les yeux quand ils passent devant le siège de l’ONRTV en construction, au risque d’avoir de vertiges. Car, contre vents et marrées, les travaux avancent, et sont presqu’achevés. Ils sont donc confondus, ces fanfarons. Faites un tour par là, et vous verrez que le mensonge vient d’être rattrapé par la vérité, parce que non seulement l’immeuble a pris forme et fait la fierté de la cité capitale, sa réalisation est aussi de haute gamme. Tant pis pour les jaloux qui n’ont qu’à maigrir. Comme partout ailleurs, les infrastructures réalisées par le groupe Almana, depuis sa création, ne souffrent de crédibilités. Confondus, ces calomniateurs ne peuvent nous présenter ici une seule faille rencontrée sur les chantiers que dirige groupe Almana, composé de spécialistes en la matière.
Autre chose, si Almana a de moyens et qu’il mette à la disposition du parti le MPS dont il est militant où est le problème ? Pourquoi l’en vouloir pour cela ? N’est ce pas qu’un parti politique fonctionne avec les moyens financiers? Dites-moi, sans argent, peut-on faire de la politique ? Ne doit-on verser ses cotisations quand on est militant d’une formation politique ? Si ces militants pour le ventre, ne le savent pas, qu’ils se renseignent auprès d’autres formations politiques sérieuses. Et à l’ère du numérique, un clic sur google les renseignera mieux. Oui, aujourd’hui, grâce à ses moyens, le généreux Abakar Taher intervient régulièrement dans sa région natale, à travers les forages, les dons aux démunis, la prise en charge des étudiants et élèves qui se démarquent. Qui de ces détracteurs a fait autant ? Qu’il vienne nous démontrer ici. Sinon, qu’ils se taisent, et prennent des leçons auprès de lui.
Parti de rien, Abakar Taher alias Almana, demeure aujourd’hui un exemple de réussite à suivre. En attendant de revenir dans un prochain article sur le parcours exemplaire cet homme, et la présentation de tous ses détracteurs, nous rappelons simplement à ces aigris aux abois, cette parole : «Celui qui court sur un toit, finira toujours par tomber ».
Nguékormadji Antoine Kagdombaye, N’Djaména-Tchad