Affaire Ibni: la ministre Amina Kodjiyana enfonce Deby

Une piste pour retrouver le corps d’Ibni

Se trouvant en mission d’Etat à Banjul en Gambie, la Ministre tchadienne des Droits de l’Homme de Deby madame Amina Kodjiyana a engagé par inadvertance la responsabilité du Gouvernement tchadien sur la disparition du Pr Ibni Oumar, suite à une question posée par un journaliste de BBC (16/04/2013).

Devant cette vérité avouée par un membre de son gouvernement, quels arguments le despote Deby peut-il avancer face aux médias sur cette question qu’il déteste tant. Ceci est une piste en or afin de retrouver le corps du feu Ibni, gardé toujours au secret par le despote tchadien. La déclaration audio de la Ministre des droits de l’Homme vous parviendra très prochainement.

Correspondant du blog de makaila

Comments

[André]

Nous attendons impatiemment la version audio de l'info pour qu'on aille directement demandé d'amples explications à madame la ministre des droits de l'homme sur la disparition d'Ibni. Ceci est
une piste à ne pas negligé pour contrecarrer Deby qui nie à chaque fois concernant la disparition de cet homme de valeur. Tôt ou tard la verité jaillira sur cet affaire classée top secret par le
regime de Deby. 

[IBNI]

Deby va repondre de tous les crimes commis. la cpi l'attend impatiemment. C jour sera un grand jour. Croyez moi la mort d'ibni ne sera pas gratuite ni passée inapercue. Surtout nous ne sommes pas
pressé.


 


Ibni fils

[Prince]

Nous remercions son Excellence madame la ministre d'avoir revelé cette verité gardé longtemps top secret. Pr Ibni assassiné par Deby en ce soir du 3 fevrier ce n'est k'une pure verité. incha
Allah nous allons retrouvé son corps.

[Naïm Boutroub]

Vos propos ne sont pas crédibles, vous ne nous dites même pas ce qu'elle a déclaré et vous vous laissez aller aux commentaires sans fondement. Soit vous reprenez ses propos dans ces lignes pour
étayer votre article, soit vous attendez de poster ici le document sonore de sa déclaration avant de coucher ces quelques lignes. Un peu de bon sens, cher Makaïla!