14 Octobre 2011
«Le solo d’un revenant», c’est le titre d’un roman de l’écrivain togolais Kossi Efoui. Pour une réédition médiatico-politico-stratégique, Cheikh Yérim Seck, juriste reconverti journaliste grâce à l’aura de l’hebdomadaire «Jeune Afrique», revient à la case Dakaractu.com pour des rafales aux forts relents de mépris culturel contre Karim Wade. Ce journaliste, à lui seul, est un institut de sondage, une agence de la statistique et de la démographie, une commission électorale nationale indépendante, une commission nationale de recensement des votes, un tribunal chargé de publier les résultats provisoires et un conseil constitutionnel chargé d’homologuer le verdict des urnes. Il mesure et valide le degré de sympathie des Sénégalais pour un homme public. Oui, il lit même dans les délibérations secrètes de la conscience des uns et des autres. Ce ramdam électronique, c’est tous les matins sur Dakaractu.com. Il exerce la bonne recommandation sur l’impertinence au point de verser dans la licence.
Source: http://www.leral.net/Cheikh-Yerim-Seck-porte-plume-d-un-mal-ethique_a19983.html