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Makaila, plume combattante et indépendante

Makaila.fr est un site d’informations indépendant et d’actualités sur le Tchad, l’Afrique et le Monde. Il traite des sujets variés entre autres: la politique, les droits humains, les libertés, le social, l’économique,la culture etc.

Ecoutez Amna Guellali, chercheuse et spécialiste tunisienne du monde arabe

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L'entretien – Amna Guellali, chercheuse : « C'est un salut pour le monde arabe d'expérimenter la démocratie, avec tout ce qu'elle peut avoir d'inquiétant, de retournement de situations»

 

Les Egyptiens célèbrent l'an 1 de leur révolution qui a eu raison du pouvoir d'Hosni Moubarak. Un élan populaire porte encore cette aspiration au changement. Avec Amna Guellali, chercheuse et spécialiste du monde arabe à Tunis, Ange Hermann GNANIH fait le bilan de ces mouvements qui ont changé le monde arabe. Entretien

 

Ecoutez : ICI

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<br /> <br /> Centrafrique - Le FPR créé un parti, affirme négocier avec d'autres rébellions<br /> <br /> <br /> 26 Janvier 2012 - 18:29<br /> <br /> <br /> <br /> La rébellion tchadienne du Front populaire pour le rassemblement (FPR), attaquée par les armées tchadienne et centrafricaine lundi au nord de la Centrafrique, a annoncé jeudi la création d'un<br /> parti et assure avoir entamé des négociations avec d'autres rébellions.<br /> <br /> De "violents affrontements", ayant fait plusieurs morts, ont eu lieu lundi dans la région de Kaga Bandoro (centre-nord) entre les armée tchadienne et centrafricaine d'un côté et le FPR de<br /> l'autre. Le chef du FPR, le +général Baba Laddé+ est depuis injoignable alors qu'un haut officier tchadien a assuré que l'armé tchadienne avait "détruit complètement le poste de commandement de<br /> Baba Laddé" et que "les opérations se poursuivaient" pour le "capturer".<br /> <br /> Dans un communiqué reçu jeudi par l'AFP, "la cellule de communication du FPR basée à l'étranger" annonce que "lors de son dernier entretien téléphonique, le général Baba Laddé a émis le souhait<br /> de créer un mouvement centrafricain pour lutter contre la dictature de (président centrafricain) François Bozizé. Les sympathisants et amis (...) viennent de créer le Parti pour la Justice et le<br /> Développement (PJD)".<br /> <br /> Ce mouvement, précise le texte, "aura une aile militaire, les Forces Armées Révolutionnaires de Centrafrique (FARCA).<br /> <br /> Ce parti, précise le communiqué est "entré en négociation avec la CPJP (Convention des patriotes pour la justice et la paix, l'UFDR (Union des forces démocratiques pour le rassemblement) et<br /> l'APRD (Armée populaire pour la restauration de la démocratie) pour créer une alliance afin de renverser la dictature".<br /> <br /> L'UFDR et l'APRD ont signé des accords de paix avec le gouvernement en 2008 et sont engagés dans le processus de DDR (Désarmement, Démobilisation, Réinsertion) alors que la CPJP a signé un<br /> cessez-le-feu. Aucun de ces mouvements n'a à ce jour évoqué de contacts avec le FPR.<br /> <br /> "Le PJD-FARCA collaborera aussi avec tous les mouvements politico-militaires du Tchad et du Soudan. Nous appelons tous les militaires centrafricains à déserter et à rejoindre les FARCA", ajoute<br /> le communiqué.<br />  <br /> ©  AFP<br />
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<br /> ATTAQUES AU NIGERIA : BOKO HARAM ET LA PISTE DE MERCENAIRES TCHADIENS<br /> <br /> <br /> Par RFI http://www.rfi.fr/node/781329 <br /> Article publié le : jeudi 26 janvier 2012 - Dernière modification le : vendredi 27 janvier<br /> 2012<br /> <br /> <br /> Les autorités nigérianes ont arrêté ce jeudi 26 janvier 2012 quelque 200 personnes, pour la plupart des « mercenaires »<br /> tchadiens. Ces détentions interviennent quelques jours après les attentats meurtriers revendiqués par le groupe islamiste Boko Haram, dans la ville de Kano, au nord du Nigeria. Certains membres du<br /> groupe proposent désormais un dialogue aux autorités.<br /> <br /> <br /> Depuis les attaques meurtrières de vendredi dernier à Kano qui ont tué au moins 185 personnes, le président nigérian Goodluck<br /> Jonathan a limogé le chef de la police, Hafiz Ringim et six de ses adjoints – première étape d’une réorganisation de la police, très vivement critiquée par la population.<br /> <br /> <br /> Parallèlement, de nombreuses arrestations ont été effectuées ; les autorités nigérianes disent avoir arrêté environ 200<br /> assaillants. Selon une source policière de haut niveau sous couvert d’anonymat citée par l’AFP, parmi ces 200 assaillants arrêtés, « 80% d’entre eux sont des Tchadiens venus en tant que<br /> mercenaires ». Cette même source soutient également que ces Tchadiens avaient été payés pour participer aux attaques.<br /> <br /> <br /> Joint par RFI, Magagi Majia, porte-parole de la police à Kano, n’a pas souhaité donner d’indications sur la nationalité des<br /> personnes arrêtées ni confirmer le nombre d’arrestations. En revanche, il a confirmé la participation de Tchadiens aux attaques de vendredi dernier.<br /> <br /> <br /> Les liens de Boko Haram avec l’extérieur<br /> <br /> <br /> Lors de son déplacement à Kano, suite aux attaques-suicide de la semaine dernière, le président nigérian avait déclaré que les<br /> terroristes recevaient sûrement des soutiens provenant de l’étranger.<br /> <br /> <br /> De leur côté, les forces de sécurité nigérianes ont longtemps soupçonné Boko Haram d’introduire clandestinement des armes par<br /> la frontière avec le Tchad et le Niger, au nord-est du pays. Et par ailleurs, le mouvement est également soupçonné de liens avec la branche maghrébine d’al-Qaïda (Aqmi).<br /> <br /> <br /> Un rapport de l’ONU sur l’impact de la crise libyenne au Sahel qui vient d’être publié, évoque précisément la menace que fait<br /> peser Boko Haram sur la région et les liens qu’il a tissés avec Aqmi. Ainsi et selon ce rapport, il existe des preuves qui laissent entendre que Boko Haram compte, dans ses rangs, des Tchadiens qui<br /> ont suivi un entraînement au sein du groupe terroriste al-Qaïda. Des membres tchadiens mais aussi des membres nigérians de Boko Haram qui auraient été formés dans des camps d’Aqmi au Mali, pendant<br /> l’été 2011, c'est-à-dire il y a moins de six mois.<br /> <br /> <br /> Inquiétude également au sein de l’Union africaine (UA) qui craint une expansion du groupe. Francisco Caetano José Madeira,<br /> responsable de la lutte contre le terrorisme au sein de l'organisation, a mis en garde, mardi, contre la possibilité que Boko Haram « étende ses activités aux pays voisins et pénètre dans<br /> la région d’Afrique centrale ».<br />
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