Jeune et richissime, Hinda veut des vacances en milieu balnéaire aux bras de son président de mari, loin de quatre mures de ce palais Rose encombrant et achalandé
des bouffons. Le mari devient de plus en plus inaccessible, regagne très tard son lit conjugal pour ronfler. Elle se sent insatisfaite et commence à se dégouter des lambris de ce palais
envahissant truffés d'illettrés en armes. Hinda se dit qu'elle n'a plus de vie. Sa vie de jeune épouse est empoisonnée par une clique envahissante de bouffons et de demandeurs d'argent et de
boulot. Les frères Bourma lui donnent quelque espoir de vie de liberté. Elle préfère la maison de sa cadette où elle peut causer, se maquiller et danser avec les Bourma et
leurs cousins, de jeunes dont elle apprécie la compagnie. Elle dit en secret qu'elle est horrifiée de vivre avec son mari et ses odeurs d'alcool et de sueur. "on ne trouve pas tout dans la vie. J'ai la fortune mais pas de vie de couple" disait-elle à une confidente. "sabour-bess!" lui réplique la concernée. Hinda rêve des espaces libres, air et fruits de mer, barbecue et harissa de Maroc, musique douce de jacuzzy aux îles hawaï. Le Président Deby comprendra un jour que sa jeune épouse demande plus d'egard et de disponibilité?
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Brahim Déby<br />
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Brahim Déby, né le 6 juin 1980 - assassiné le 2 juillet 2007 à Courbevoie, France, est le fils du président tchadien Idriss Déby Itno et de sa première épouse Hadja Halimé Déby. Il occupe différentes fonctions auprès du pouvoir tchadien.<br />
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Parcours[modifier]<br />
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Diplômé en management de l'université d'Ottawa, il est nommé par son père secrétaire particulier du chef de l'État. Selon certains<br />
journalistes, son père le destinait à lui succéder au pouvoir1, et Brahim Deby était surnommé le petit président2. Il occupe cette fonction plusieurs années durant lesquelles il acquiert à N'Djamena la réputation d'être un homme dangereux, violent et imprévisible. Ainsi, il lui arrive de gifler publiquement des ministres. Il<br />
est aussi accusé par la presse d'avoir tué plusieurs personnes avec l'aide de ses gardes du corps à la sortie de discothèques de la capitale. Devant l'ampleur prise par cette situation, son<br />
père le rétrograde à un poste de « conseiller à la présidence ».<br />
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Brahim Déby quitte le Tchad en septembre 2005. L'année suivante, il est condamné à six mois de prison avec sursis pour détention d’arme illégale dans une boîte de nuit parisienne et détention<br />
de drogue (375 grammes de cannabis et 2 grammes de cocaïne)3.<br />
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En raison de ses démêlés avec la justice française, son père lui avait interdit de revenir en France et les services diplomatiques et de sécurité français et tchadiens le surveillaient. Celui-ci a pourtant réussi à déjouer les contrôles<br />
en juin 2007, et à prendre l'avion dans un pays africain sous une fausse identité pour rejoindre une capitale européenne et ensuite venir à Paris.<br />
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Selon son avocat, il continuait cependant à servir d’intermédiaire entre des hommes d’affaires « intéressés par le pétrole tchadien et la cimenterie » et le pouvoir tchadien4.<br />
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Assassinat[<br />
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C'est du n'importe quoi! Il n'est un secret pour personne que notre Hinda nationale ne partage plus la chambre de Deby. Pour des raisons protocolaires, on fait venir Hinda aux ceremonies<br />
officielles ( d'ailleurs on la voit de moins en moins officiellement aux cotés de Deby). Depuis un certain temps, personne n'a vu Hinda venir dans la même voiture ue Deby lors des cérémonies ni<br />
de partir avec lui dans la même voiture. Hinda est une fille qui a "la tête dure", si elle vit encore dans un appartement à l'ecart au sein du palais présidentielle c'est parce qu'elle a accepté<br />
de subir les humilliations et apparaitre comme toujours 1ère dame aux yeux des ndjamenois.Aux dernières nouvelles, Hinda a accéléré le chantier de sa villa en finition au quartier klemat non loin<br />
de celle de sa petite soeur Mme Abderahman Bedy, ce qui laisse comprendre qu'elle quittera dans très bientôt le palais rose. Elle a interêt de partir vite puisque Deby ne jure que par les<br />
baministes en ce moment et donc pas etonnant de voir la baministe Halimé Deby faire un retour triomphale. Al fakar gadima djadida ma adjaba...<br />
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Arrêtez de prendre des tchadiens pour des cons. C'est Hinda et ses proches qui se cachent derrière cet article et non une confidente qui cherche à la trahir car c'est ARTICLE ne révèle rien de<br />
compromettent pour la Nième dame si on voit bien. C'est même plutôt flatteur, esseyent de lui donner l'mage de la femme ouverte qui connaît la modernité, les îles, jaccuzi et cie...ensuite on<br />
parle tout le temps de jeune épouse etc... Le pire c'est que cet article veut donner l'image de la femme qu'on retient dans ce palais malgré elle, qui ne s'y plaît pas etc. alors qu'en réqlité,<br />
elle s'y accroche comme une sangsue malgré ce qu'elle subit, dont l'indifférence sans cesse croissante du "mari". et puis le terme jeune épouse revient souvent et n'est pas en accord avec un<br />
article destiné trahir...Donc, allez raconter vos salades et tenter votre manipulation ailleurs.<br />
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pour n'est pas creer des problemes entre les etres, je dis simplement attention aux detracteurs de Hinda qui sont des responsables bien respectés pour leur statut alors qu'ils sont aussi des<br />
promotions fesses comme on appelle souvent à Ndjam de rester tranquile et suivre leurs oignons entre Yaoundé-Ndjamena-paris.<br />
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Il n'est pas bon de dire tout au net sinon ils n'ont qu'à aller ecrire sur leur mur de tchadantropute que de venir salir le blog de mak qu'ils cherchent depuis longtemps à le mettre dans leurs<br />
poches aux frais de la princesse comme disent leurs intimes pour les bonnes soirees arrosées gratuitement.<br />
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