20 Octobre 2013
Al Massar, parti politique de gauche progressiste tunisien est représenté à l’Assemblée Nationale Constituante (ANC), par huit députés dont son porte-parole Samir Taieb, Nadia Châabane et Karima Souid. Présents à Paris, les leaders de ce parti d’opposition au pouvoir islamiste d’Ennadha, ont organisé un meeting populaire à la bourse de travail de Saint –Denis
Soutenu respectivement par le Parti Communiste Français et le parti de gauche, en France, Al-Massar animé par Samir, Nadia et Karima, ont pris la parole pour dénoncer et fustiger la gestion du régime « Nadaoui ».
Un sombre tableau a été dressé par les différents orateurs pour décrier les pratiques et les menaces qui pèsent sur les acquis de la révolution à savoir : la liberté en général, les droits de l’homme, la sécurité des personnes, la corruption, le favoritisme qui se développent dans le pays et qui rappellent l’ancien régime de Ben Ali.
Le dialogue politique entre le parti au pouvoir et l’opposition incarnée par le Front de Salut National, s’ouvre le 23 octobre prochain à Tunis et l' issue suscite déjà d'interrogation dans les rangs de l’opinion publique à propos de l’avenir de la transition démocratique, mise en péril, par une série d’assassinats politiques des leaders de l’opposition à savoir : Chokri Belaïd et Mohamed Brahimi, sans oublier d’autres victimes.
La rédaction du blog de makaila