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Makaila, plume combattante et indépendante

Makaila.fr est un site d’informations indépendant et d’actualités sur le Tchad, l’Afrique et le Monde. Il traite des sujets variés entre autres: la politique, les droits humains, les libertés, le social, l’économique,la culture etc.

Quand Avenir Moussaye de la Tchirée se prosterne devant son maître JB Padaré !

jean bernard
Ça jamais été un secret pour personne que le directeur et gérant du journal Abba Garde est connu pour son goût pour l’argent facile mais personne ne s’est jamais imaginé un jour que Moussaye de la Tchirée Avenir va aller jusqu'à baisser son froc devant Mr Embrouille. Ah oui, vous ne rêvez pas ! Avenir et Padouch se sont remarié. D’ailleurs l’affaire alimente les discutions pendant ces derniers jours dans les débuts de boisson à Ndjamena.

Avenir qu’on doit appeler désormais « Passé » est allé se prosterner devant son maître Padouch juste après avoir sortir de la prison pour lui demander pardon. Padouch a accepté son pardon et ce dernier l’a même accompagné avec un cheque. « Je sais que tu as besoin de te rattraper alors prends ça en attendant pour ta bière, le reste je vais voir ce que je peux faire pour toi » lui a dit Padouch qui n’a même pas pris le soin de lui donner le cheque discrètement. Certainement pour prendre tout ceux qui étaient là comme témoin. Le reste on le connait bien sûr puisque notre journaliste qui est guidé par son goût de l’argent facile va consacrer une large tribune à son maitre dans le dernier numero d’Abba Gardi contre la somme de plus de 1 000 000 fcfa comme avance. Là, Padouch, vantar comme jamais raconte sa vie et fait semblant de dire que les journalistes qui étaient emprisonné n’est pas sa faute. Il va même dire qu’il n’a jamais eu de problèmes avec Avenir et son compagnon de prison Eric Topona. Mais vraiment de qui se moque t-on ? Contrairement à Avenir, Eric aurait refusé d’aller voir son ancien patron. Mais selon certaines personnes, Eric exige mieux avant d’enterrer la hache de guerre. Ce dernier était très mécontent quand Avenir lui a dit qu’il a mis un terme à leurs problèmes avec Padouch.  Affaire à suivre. Parmi ceux qui sont mécontent, il y a aussi Kascou. C’est le seul homme politique qui a eu le courage de dire face à face à Padaré d’arrêter avec ses bêtises et de libérer ses petits freres. En effet, Kascou est l’actionnaire principal du journal Abba Garde. C’est lui qui a donné l’argent à Avenir pour lancer le journal et il n’est pas d’accord que ce dernier signe des accords avec le diable en vrac.

Tout le monde sait qu’Avenir de la Tchire doit beaucoup à Jb Padouch car c’est Padouch qui a financé ses études à Yaoundé. Leur récent divorce est dû au fait que Avenir a commencé à jouer des sales tours à Padouch. Comme on ne mord pas la main qui te nourrie, Avenir ne fait que revenir à la raison. En fait les agissements d’Avenir contre Padaré étaient une tactique car selon une source très très fiable, il aurait dit qu’il vise plus loin c'est-à-dire la mangeoire. Il adopte tout simplement la tactique de Bendjo, le journaliste qui insultait Deby mais qui a tristement fini sa carrière en écrivant des poèmes pour lui. Avenir a provoqué exprès emprisonnement  en écrivant des tas des choses sur Padaré   à un moment bien calculé pour que la communauté international parle de lui. Tout ceux qui connaissent le directeur d’Abba Garde savent que c’est quelqu’un qui a une grosse gueule mais aussi quelqu’un de stratégique et qui est prêt d’utiliser tous les moyens pour arriver à ses objectifs. Ils se ressemblent avec Padaré trait par trait, en fait.
Selon certaines sources fiables, les employés du journal sont très mécontents en ce moment et menacent même de porter plainte contre Avenir car non seulement ils n’ont pas été payés depuis des mois mais ils sont trahi. Quand à ses confrères journalistes, ils sont tout simplement déçus du comportement d’Avenir. Certains l’esquivent même maintenant. Rappellez-vous que les journalistes tchadiens se sont mobilisés corps et âmes pour exiger sa libération quand il était en prison. Il y a même des gens qui ont cotisé pour l’aider à payer son amende que la justice lui a exigé. Même les amis très proches de ce dernier sont très déçus de son revirement et évitent désormais de prendre la bière avec lui.  Ne soyez pas étonné que desormais le journal Abba Gardi va chanter pour le pouvoir de Deby et de Padaré.
 
Kevin Djerobé Ndjekainkoula
kevindjerob@yahoo.com
Ndjaména-Tchad
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A
L’UNION AFRICAINE REFUSE DE « LIVRER » KENYATTA A LA CPI<br /> SAMEDI 12 OCTOBRE 2013 / PAR MALICK HAMID<br /> http://www.afrik.com/l-union-africaine-refuse-de-livrer-kenyatta-a-la-cpi<br /> <br /> Le Président kényan, Uhuru Kenyatta, ne devrait pas se rendre devant la Cour pénale internationale (CPI), où son procès doit s’ouvrir le 12 novembre. C’est la décision de L’Union africaine (UA) qui<br /> campera sur ses positions tant que la requête d’ajournement qu’elle a formulée n’a pas reçu de réponse.<br /> Un Sommet extraordinaire de l’UA, réuni samedi à Addis Abeba pour examiner les liens entre l’organisation panafricaine et la CPI, a décidé de demander au Conseil de sécurité de l’ONU de décider -<br /> comme le lui permet le Statut de Rome, fondateur de la CPI - un ajournement des poursuites en cours à La Haye contre les dirigeants en exercice.<br /> Le chef de la diplomatie éthiopienne, Tedros Adhanom Gebreyesus, a annoncé que l’Union africaine ne va pas livrer le Président kényan, Uhuru Kenyatta, à la Cour pénale internationale (CPI), où son<br /> procès doit s’ouvrir le 12 novembre prochain. L’examen des liens entre l’UA et la CPI avait été réclamé par le Kenya, dont le président Uhuru Kenyatta et le vice-président William Ruto sont<br /> poursuivis depuis 2011 pour crimes contre l’humanité par la Cour de La Haye.<br /> Selon la ministre kényane des Affaires étrangères, Tedros Adhanom Gebreyesus, « ce dirigeant élu devrait gouverner son pays. Ce que le Sommet de l’Union africaine a décidé, c’est que le Président<br /> Kenyatta ne devrait pas comparaître tant que nos requêtes n’ont pas reçu de réponse ».<br /> « Un groupe de contact (...) va entreprendre des consultations avec les membres du Conseil de sécurité de l’ONU (...) afin de discuter de toutes les préoccupations de l’UA concernant ses relations<br /> avec la CPI, notamment l’ajournement des affaires kényanes et soudanaise », a déclaré le Premier ministre éthiopien, Hailemariam Desalegn, président en exercice de l’UA. Le PM éthiopien a également<br /> fait allusion au mandat d’arrêt émis contre le Président soudanais, el-Béchir, objet, depuis 2009, d’un mandat d’arrêt de la CPI, pour des crimes contre l’humanité, crimes de guerre et génocide au<br /> Darfour.<br /> Le Sommet a également décidé qu’aucune accusation ne saurait être lancée ou maintenue devant un quelconque tribunal international contre un chef d’Etat en exercice.
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N
@Negre Libere Commentaire 5 Nous aussi (FATIM)avons tue Belmoktar grace a notre general ''clef en main "'de Kaka Que nous sommes partis faire la-bas ? Nous etions auxilliaires de francais au Mali<br /> La frfance connait le Tchad ; des guerres mondiales au Vietnam , en Algerie et au Cameroun pour participer au massacre des peuples qui demandaient leur independance , que nous nous n'avons toujours<br /> pas<br /> <br /> Pour l'heure bien a tous
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A
LA DÉSINTÉGRATION DE LA LIBYE par Polina Lavrentieva<br /> http://www.voltairenet.org/article180499.html<br /> <br /> À l’été 2011, Thierry Meyssan assurait qu’il n’y avait pas de printemps arabe en Libye, que la population ne se levait pas contre Mouammar el-Kadhafi, mais que les Occidentaux jouaient avec le<br /> mouvement séparatiste de la Cyrénaïque. Deux ans plus tard, c’est fait : Tripoli a perdu tout contrôle à la fois sur la Cyrénaïque et le Fezzan, comme l’ont constaté les envoyés spéciaux des<br /> Nations Unies. Les richesses du pays sont désormais aux mains des gangs et des seules multinationales US.<br /> L’on n’arrive pas à arrêter le processus de désintégration de la Libye commencé depuis l’assassinat de Mouammar el-Kadhafi. Un nouveau rapport de l’ONU en témoigne : sur fond de séparation de<br /> provinces au sein de la Libye « libérée du dictateur », ont cours des exécutions expéditives, une oppression politique massive et des tortures.<br /> <br /> D’après le rapport commun de la Mission d’appui des Nations Unies en Libye (MANUL) [1] et du Haut-Commissaire de l’ONU pour les Droits de l’Homme, près de 27 personnes sont mortes en prison dans le<br /> pays pour la seule fin de l’année 2011 [2]. 8 000 personnes sont détenues dans les geôles du pays. Elles y ont été jetées en 2011 en tant que « partisans de Kadhafi ». La plupart d’entre elles n’a<br /> même pas été officiellement l’objet d’une enquête et personne ne sait combien de temps elles resteront à l’ombre, puisque le système judiciaire ne fonctionne quasiment plus.<br /> <br /> Le New York Times indique que des gens sont arrêtés maintenant, pour des raisons religieuses ou ethniques, ou s’ils sont suspectés de ne pas être loyaux envers « la démocratie ». Les prisonniers<br /> avec lesquels les inspecteurs de l’ONU ont pu parler ont relaté qu’ils étaient battus et torturés par le feu et par la faim dans les prisons.<br /> <br /> En avril de cette année, une loi a été votée en Libye pour interdire les tortures et condamner les enlèvements. Mais elle n’a pas de portée effective. Ce n’est qu’une partie du tableau de la<br /> désintégration de l’État libyen. Des régions se retirent peu à peu, comme nous le prévoyions il y a deux ans dans ces colonnes. Et cela ne se passe pas non plus sans effusions de sang.<br /> <br /> Ainsi, le 27 septembre, le Fezzan a proclamé son indépendance, ou tout au moins sa complète autonomie [3] ; les chefs tribaux en ont ainsi décidé « du fait du mauvais travail du Congrès ». En juin,<br /> c’était la région [riche en pétrole] de la Cyrénaïque [4] qui reprenait sa liberté. Des trois régions historiques de la Libye, seule la Tripolitaine en fait toujours partie. Pour l’heure, il n’y a<br /> pas de force capable de réunir à nouveau ces trois États historiques qui formaient la Libye depuis 1951.<br /> <br /> Polina Lavrentieva<br /> Traduction : Louis-Benoît Greffe<br /> Source : Odnako (Fédération de Russie)<br /> Hebdomadaire d’information générale. Rédacteur en chef : Mikhail Léontieff.<br /> Notes de référence<br /> [1] Site internet de la Manul en anglais et en arabe.<br /> [2] “Torture and Deaths in Detention in Libya”, Unismil Report, Octobre 2013.<br /> [3] « Libye "nouvelle" : la région de Fezzan proclame son indépendance », Irib, 27 septembre 2013.<br /> [4] « Ливии официально больше нет. Восток объявил "нефтяное государство" » (La Libye officiellement n’est plus, l’Est se déclare en pétro-État), Odnako, 7 mars 2012.
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N
... et François Hollande comme président du Mali, puisqu'il a organisé dans ce pays qui n.est pas la France, des élections dont il a fixé lui-même le date au 27 juillet 2013. "Je ne transigerai<br /> pas", avait dit le colon du 21ème siècle.
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N
@Abtouyour Il va falloir nommer Sarkozy President en Lybie et Kouchner comme regent a Cyrenaique Qu'en dites -vous ?
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