Saleh Kebzabo, un bouffon politicien hissé au rang d'opposant

Saleh Kebzabo, un bouffon politicien hissé au rang d'opposant.

Saleh Kebzabo est un crétin politique, un doukouh trainant comme un tapin dans un lupanar en quête de flouses faciles pour ravitailler sa calebasse de son parti sans aucune assise nationale.
Ex-vendeur des journaux à la criée au Cameroun où il succomba à la tentation du pick-pocket, ce qui lui valut la prison puis évasion, Kebzabo est exagérément promu au rang de mentor de l'opposition ces derniers temps. Certains surealistes vont jusqu'à voir en lui un sauveur du soldat Deby face aux airs hautains de François Hollande.
Kebzabo, à mon humble avis, ne représente sur l'échiquier national qu'un opportuniste en quête de strapontin pour lui et les cadres de son parti à prédominance moundang.
En tout temps Kebzabo n'est qu'un félon obséquieux, un rire malicieux aux commissures de lèvres et prompt a se remplir les poches â moindre frais. Il n'a pas le charisme d'un leader qui peut etre au fer et au moulin.

Tous les soirs, il squatte le palais rose. Deby le connait trop assidu de son entourage et parfois le bouffon fondateur de l'UNDR se montre trop envahissant et cupide. Deby arrive de le renvoyer comme une mangouste surprise aux alentours d'un poulailler. Le lendemain, Kebzabo rode de nouveau autour du palais, tel ce chien qui visite chaque jour la clairière oú il attrapa un faon endormi. L'assiduité de Kebzabo au palais Rose se confond au comportement d'un doungourou devant un roi. Parfois, faute d'accès au palais, il dort dans sa voiture, harcelant les conseillers du président â ses heures d'eveil.
Un tel individu peut-il etre nommé PM? Jamais. Ces affidés semblent jouer le tango en épandant ces intox en vue de le voir au perchoir tant convoité.

Un observateur averti
Me Temkoh Clément

Comments

[Abakar]

La bassesse avec laquelle vous vous exprimez demontre clairement que vous avez un serieux probleme personnel avec Saleh Kebzabo que plutot d'exprimer un point de vue objectif sur la credibilité
d'un opposant. C'est dommage que derriere une si belle plume se cache un homme d'une bassesse qui va au dela du ridicule. 

[Moustapha]

Bonjour chers tous!


Je suis vraiment surpris par ce genre de commentaire tendancieux et à la limite insultant. Dénudé de tout respect et à connotation tribale, attisant par dessus tout à la haine contre la
communauté Moundang de votre pays. En tant qu'un individu réflexi, il serait loyal de s'attaquer à un Saleh Kebzabo comme politicien et à non à toute sa tribu. Il serait souhaitable de faire un
pas mental, réfléchir avec la raison et faire moins l'usage du coeur. Je connais pas la réalité de votre pays, mais je vis grâce à ce blog de mon cher ami Makaila.


Respectueusement votre!

[Ali Ousmane]

Me Padaré, pourquoi ne dors-tu plus? Dès que tu entends les rumeurs de la nomination de Kebzabo au poste de PM, tu trembles, t'imbibes d'alcool jusqu'en chier dans ton pantalon, tu deviens un
vrai fou en liberté. Il est temps de te rassurer, mon ami. Redescends, petit ingrat. Ne crains rien: Kebzabo n'est pas à l'origine de ton malheur. Il faut t'en prendre plutôt à ton égoïsme.
Consacre ton énegie à redémarrer Gouari voyages pour ton bataillon de femmes qui te feront une armée d'enfants. Vilain lèche-botte de Déby, nous te connaissons assez. C'est bien toi qui dors
comme tu le décris dans ta voiture, en attendant de recevoir le reste des plats des enfants de Déby. Si tu as peur de perdre ton argent volé en sacrifiant les tiens, si tes marabouts n'arrivent
plus à te garantir l'accès au palais rose, si tu ne peux plus garantir le gombo de tes six femmes et leurs troupes de gosses, si tu ne peux plus subvenir aux besoins de ta femme réfugiée dans un
camp en France, Kebzabo n'y est pour rien. Tu as sacrifié les Moundang. Après Kebzabo, tu as vendu Dekembé et françois Djondang. Tu as participé à la rédaction de la diatribe du pauvre Adam Samir
contre Massalbaye. Alors, petit diable à mille cornes, ton plan macabre contre Kebzabo ne passera. D'ailleurs, tu le sais bien et tu as entrepris de te répentir en te rapprochant de quelques
personnes autour de lui.