Tchad: l'ANCD condamne l'arrestation du porte-parole de l'UFR

                            COMMUNIQUE NO 06/SG/ANCD/2011

L’Alliance Nationale pour le Changement et la Démocratie n’est pas surprise de l’arrestation de Monsieur Abdraman Koulamallah par le régime d’Idriss Deby qui démarche les opposants, les débauche et les fait arrêter une fois à N’djamena.

L’ANCD a, de tout temps, opté pour une démarche inclusive pour résoudre définitivement le problème tchadien. Cette arrestation inopportune démontre à suffisance l’arrogance et le mépris du régime vis-à-vis des ses opposants. Nous exigeons la relaxe immédiate et sans condition de tous les prisonniers politiques y compris Mr Koulamallah.

Au-delà des absurdités du régime, nous lançons un appel pressent aux pays amis épris de paix et de justice, notamment la France et les Etats-Unis, d’aider le Peuple tchadien, à l’instar des autres pays africains, à s’affranchir de cette dictature implacable qui rejette toute alternance démocratique.

L’ANCD, fidele à ses principes, inébranlable dans ses certitudes, clame haut et fort : vingt et un ans de despotisme, ça suffit

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                                                                                        Fait le 10 juin 2011

MAHAMAT Mahdi-Ali

Secrétaire Général de l’ANCD

Tel : +33617070383

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Comments

[Bien informé]

Des individus comme Abderaman Koulamallah merite bien la prison. Il a été de tous le temps un traite. A Ndjaména avant qu'il ne rejoingne la rebellion, il avait trahi l'opposition interieure pour
se joindre à Déby qu'il qualifiait en mai 2006 de " meilleur démocrate ". Il a ensuite en avril 2008 après l'attaque de Ndjaména crée son mouvement rebelle UDC et prit contact avec le pouvoir par
l'intermediaire de sa soeur Sarah pour negocier son retour et monnayer les pauvres combattants qui l'ont suivi. En plus pas mal de gens se souviennent que pendant les combats de Amdam et haouech,
il était souvent en communication par thuraya dont il pretendait que c'était pour les besoins de la communication. En réalité, il était en contact avec Ndjaména. Cela avait permit aux combattant
gouvernementaux d'ajuster leurs tirs et encercler des unités. Pourtant le consigne était claire; il faut éteindre les thuraya pour eviter d'etre localisés. Dernièrement, un officier soudanais l'a
d'ailleur bien dit : " ils (soudanais) nous étaient apparu que votre rebellion était truffée d'espions à la solde du regime que vous pretendez combattre...à l'exemple de Koulamallah...et c'est
d'ailleur pour cette raison que nous n'avons plus souhaité le voir sur notre territoire, bien qu'il ait de la famille au Soudan.."

[pro-ialtchad]

En dehors du communiqué la question que je me suis posé, existe -elle  encore l'ufr entant que telle ? Je dis bien Celle qu'on la écrié en mai  2009 .