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Makaila, plume combattante et indépendante

Makaila.fr est un site d’informations indépendant et d’actualités sur le Tchad, l’Afrique et le Monde. Il traite des sujets variés entre autres: la politique, les droits humains, les libertés, le social, l’économique,la culture etc.

Tchad: Souleymane Malato (SET) et Barka Michel (UST), attentifs à la chose sociale

soutenance-20Zara-20059-copie-1.JPG
M.Souleymane Malato,
enseignant chercheur
à l'ISET, actuel Sg du
SET
Le secrétaire général du Syndicat des enseignants du Tchad (SET), Souleymane Malato et le président de l’Union des syndicats du Tchad (UST), Barka Michel, apprécient l’intervention du Chef de l’Etat sur la question de la cherté de vie. « Nous sommes attentifs à l’intérêt qu’il accorde à la chose sociale », ont déclaré les deux leaders syndicaux.

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S
<br /> cameroun link<br /> Ngaoundéré : des assaillants neutralisés par le BIR<br /> <br /> <br /> Olivier LAMISSA KAIKAI<br /> <br /> La dépouille d’une des victimes, soupçonnée d’appartenir à l’armée tchadienne, a été remise hier au Consul du Tchad.<br /> <br /> La cérémonie de levée du corps du militaire Ahmet, présenté par les forces de défense, comme caporal de l’armée tchadienne, en détachement à Larmanaye au Sud du Tchad, s’est déroulée hier à la<br /> morgue de l’Hôpital régional de Ngaoundéré. C’est le conseiller aux Affaires juridiques et financières des services du gouverneur de l’Adamaoua, Saïdouna Ali, qui a présidé la remise officielle de<br /> cette dépouille au consul du Tchad au Cameroun avec résidence à Garoua, Hamid Oumar Nassour. En présence du commandant de la Légion de l’Adamaoua, Djou Esaïe, du directeur de l’Hôpital régional de<br /> Ngaoundéré, le Dr Vohod Deguimé. Le corps de ce militaire tchadien, abattu dans un affrontement sanglant entre les éléments du 4e Bataillon d’intervention rapide (BIR) et un groupuscule d’individus<br /> habillés aux couleurs de l’armée tchadienne, a été admis à la morgue de cet hôpital le 22 décembre 2009, au lendemain de sa découverte. L’affrontement s’est déroulé le 21 décembre 2009 dans la<br /> localité de Gazawa, bourg situé dans l’arrondissement de Touboro (région du Nord). Selon le récit de Boukatou, une victime des coupeurs de route, actuellement internée à l’hôpital régional de<br /> Ngaoundéré, « mon épouse et moi étions en train de récolter les arachides. Dans notre voisinage, il y avait des paysans qui<br /> <br /> ESPACE PUBLICITAIRE<br /> Viviane Etienne !<br /> <br /> Les plus lus cette semaine<br /> Le discours du président du Cameroun Paul Biya à la nation le 31 décembre 2009<br /> [6707 hits][16 R] Vidéo disponible!<br /> Douala :Echange de tirs entre des journalistes et un colonel<br /> [4305 hits][7 R]<br /> Enseignement supérieur : Sept nouveaux agrégés<br /> [3879 hits][6 R]<br /> Les 30 qui ont marqué l`année 2009<br /> [3169 hits][9 R]<br /> Marche : La police évite de provoquer Mboua Massock<br /> [2728 hits][18 R]<br /> <br /> travaillaient également. Une dizaine d’hommes habillés en tenue militaire du Tchad ont fait irruption dans nos champs. Ils ont fouillé tous les paysans et nos effets et comme ils n’ont rien trouvé<br /> sur nous, ils ont tiré sur moi. Mon épouse a fui et les autres paysans se sont échappés aussi… » Le pauvre paysan a reçu deux balles à la cuisse et à la verge. Ce sont les tirs à l’arme qui ont<br /> alerté les éléments du BIR cantonnés non loin de la localité. La riposte est aussitôt engagée. Dans les échanges de coups de feu qui ont duré une quinzaine de minutes, le bilan fut particulièrement<br /> lourd du côté des coupeurs de route. Deux militaires sont tombés : un lieutenant identifié comme le commandant du détachement de l’armée tchadienne à Larmanaye et chef de gang de coupeurs de route<br /> et le caporal Ahmet. Selon des sources militaires, le corps du lieutenant abattu aurait été récupéré par ses éléments, une fois tombé. C’est le maire de Touboro qui a acheminé le corps du caporal<br /> abattu à la morgue de Ngaoundéré.<br /> <br /> Mais le consul du Tchad au Cameroun à Garoua, Hamid Oumar Nassour a émis des réserves sur l’appartenance du caporal Ahmet à l’armée tchadienne, et refusé d’approuver l’appellation de coupeur de<br /> route contenue dans le procès-verbal de remise de la dépouille. Il a même indiqué qu’une enquête serait ouverte pour l’identification véritable du caporal abattu et que les résultats de l’enquête<br /> seraient disponibles dans dix jours.<br /> <br /> <br />
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S
<br /> mak,vois comment on ridiculise le tchad à l'étranger<br /> <br /> L’altercation a eu lieu le 20 décembre dernier près de Gazawa dans l’Adamaoua.<br /> <br /> Mutations / Mercredi 6 janvier 2010<br /> <br /> Hamid Oumar Nassour, le consul du Tchad au Cameroun avec résidence à Garoua et Saidouna Ali, conseiller aux affaires juridiques et financières des services du Gouverneur de la région de l’Adamaoua<br /> ont assisté hier à l’hôpital régional de Ngaoundéré à la cérémonie de décharge du corps du caporal Ahmet, mort dans un accrochage entre les forces de défense camerounaise et tchadienne. Les faits<br /> jusqu’ici bien entourés de secrets remontent au 20 décembre 2009. Lorsque les éléments du 4ème bataillon d’intervention rapide du Nord alors stationnés dans les environs de la localité de Gazawa à<br /> 12 kilomètres de Touboro, sont informés par des passants que des coupeurs de route étaient en pleine opération dans le village en question. Très vite les hommes du lieutenant Fon vont se déployer<br /> sur les lieux pour y tendre une embuscade.<br /> <br /> Un terrain investi en fait par quelques militaires Tchadiens appartenant à la 522ème compagnie, 52ème bataillon, 5ème régiment d’infanterie, région militaire n°11, détachement de Koumbété. Lesquels<br /> militaires Tchadiens ont prétendu plus tard s’être lancés aux trousses des coupeurs de route. A l’issue des échanges très nourris de coups de feu qui s’en suivront, un militaire tchadien le caporal<br /> Hamid Djido Acyl est tué sur le coup, son corps sera par la suite transporté à la morgue de l’hôpital régional de Ngaoundéré. Le lieutenant Yakoub Adam Addel Aziz, par ailleurs chef du détachement<br /> de Koumbité dans l’arrondissement de Larmaye, sera déclaré mort de suite de ses blessures au Tchad comme l’a indiqué une délégation de Larmaye (venu revendiquer le corps de l’autre militaire), d’où<br /> sont venus les «assaillants». Deux autres blessés graves côté tchadien, seront transportés d’urgence à l’hôpital d’Andoum au Tchad, selon des informations glanées auprès du commandant de bataillon<br /> de Koulingar Aydé de Baibokom, chef lieu du département de Mot de Lam au Tchad. Côté camerounais, aucune perte en vie humaine.<br /> <br /> Bavure<br /> Alors que la dépouille du caporal Hamid Djido Acyl logé jusqu’à ce mardi 05 janvier à la morgue de l’hôpital régional de Ngaoundéré, est rapatrié ce même jour au Tchad, la polémique au sujet de<br /> cette affaire enfle. Côté tchadien l’on continue d’affirmer qu’il s’agit là d’une bavure de l’armée camerounaise qui aurait confondu les militaires tchadiens aux coupeurs de route. Quoiqu’ils<br /> affirment qu’ils étaient réellement aux trousses des coupeurs de routes, les tchadiens démentent par contre s’être introduit en territoire camerounais. Cependant, un tchadien le nommé Bekatou<br /> Jérémie cultivateur domicilié à Nkoundaye au Tchad affirme le contraire.<br /> <br /> «J’étais au marché de Gazawa (au Cameroun) avec mes femmes. C’est à notre retour que nos frères, les militaires tchadiens ont tiré sur moi. J’ai été touché au niveau de la cuisse droite. Nous<br /> étions encore même au Cameroun. C’est quand mes femmes m’ont vu tombé qu’elles ont couru signaler aux militaires camerounais». Pour le lieutenant Fon du 4ème bataillon d’intervention rapide<br /> (Cameroun) qui a mené en compagnie de ses éléments les opérations sur le terrain «il ne s’agit en aucun cas d’une bavure de l’armée camerounaise. Les militaires tchadiens en question étaient bel et<br /> bien en train de couper». En tout cas ce n’est pas la première fois que des accrochages entre armées camerounaise et tchadienne sont enregistrés à la frontière des deux pays.<br /> <br /> Dieudonné Gaïbaï et Yanick Yemga<br /> <br /> <br />
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