Une série d'actes isolés contre l'armée Française au Tchad
Un homme en moto venait de tirer sur un duo de soldats français à N'djamena. Cet acte surement isolé est le reflèxe typique d'un tchadien rancunier qui
gobe mal la présence d'une force étrangère dans son pays. Cet acte peut provenir d'un malentendu sur la voie publique entre le soldat tchadien et les deux bidasses français. Par exemple un
quiproquo né d'un usage de la voie publique. Bousculé alors qu'il est sur sa moto, l'homme tchadien réagit en dégainant sa flingue contre les deux blancs.
En 2000, à Abeché, un cavalier arabe se promenait sur la route de Goz-beida-Abéché et rencontre trois soldats francais qui faisaient du joging. Quelle mouche
l'a piqué, l'on ne sait, le cavalier tchadien se dit: "vous voulez courir, je vais bien vous les aider à mieux courir..." et il se rapprocha des sportifs militaires français, brandit son fouet de
cheval pour les rouer des coups. Inlassable l'homme tchadien pourchassa les pauvres jogueurs sur plusieurs kilomètres, les matraquant avec sa cravache. Les "pardons", les "qu'est-ce qu'il ya" et
les "t'es fou.." de blancs se confondirent aux rires du cavalier qui tira un réel plaisir en frappant les blancs. Le cavalier abandonna ses assauts à l'entrée d'Abeché et laissan des blancs aux
peaux lacérées de partout dont les uns saignaient. Un hélicoptère français fut levé dans les airs pour rattraper l'assaillant mais nulle trace de l'agresseur qui se fondit dans la nature. Les
abechois furent très ravis d'apprendre ce geste à la fois bête, incomprehensible et comique.
L'acte d'hier n'est qu'un alors acte isolé d'un tchadien au sang bouillant qui a tiré un plaisir en prenant en joue des français qui se comportent en pays
conquis. Il est inutile d'attacher cet acte à une quelconque mésentente entre le régime tchadien et le nouveau régime français.
Un autre cas fut celui de la prise en otage d'un chinois par un ilitaire tchadien en 2010. Le chinois etait un conducteur de catterpillar et
travaillant sur un chantier routier. Ce chintoque a renversé le soldat tchadien en moto avec sa grosse féraille. L'homme se blessa et sa moto caillassée. Il demanda réparation mais le chef de
chantier, un autre chinois, traina les pas pour indemniser la victime qui n'a d'autre issu que de prendre le conducteur de l'engin en otage. Dans les heures qui suivirent, les chinois s'étaient
mobilisés pour liberer leurs chaffeurs après avoir payé dommages et interêts à la victime.
Patrick franc