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Makaila, plume combattante et indépendante

Makaila.fr est un site d’informations indépendant et d’actualités sur le Tchad, l’Afrique et le Monde. Il traite des sujets variés entre autres: la politique, les droits humains, les libertés, le social, l’économique,la culture etc.

Voeux du nouvel an 2012 du RNDP au peuple tchadien

sigle image small

RASSEMBLEMENT NATIONAL DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE  

(R N D P)  

Ref. : 001/PR/RNDP/01.12  

Date : 01/01/2012

 

Message de voeux de nouvel an 2012

L’année 2011, caractérisée par tant d’évènements historiques importants et différemment appréciables, vient de s’écouler.


Pourtant, face aux régimes autocratiques, despotiques, dictatoriaux et corrompus, la lutte pour la liberté et la démocratie n’a pas fléchi au contraire, celle-ci, sous l’impulsion populaire grandissante et grâce à la solidarité internationale décisive, prend de l’ampleur et déborde les frontières habituellement établies.


L’an 2011 fut aussi une catastrophe, sur tous les plans politique, économique et social au Tchad où sévit une dictature clanique cruelle, dirigée par I. Déby que toutes les populations tchadiennes souhaitent, du fond de leurs coeurs, qu’il

Dégage

Car, 21 ans de malheurs, de souffrances et de misère c’est assez.  

Aussi, il est certain que le vent de la liberté et de la démocratie soulevé par la persistance de luttes sociales et l’engagement de larges masses populaires va conduire à coup sûr à la délivrance.

Au nom de la direction du RNDP et en mon nom personnel j’adresse, au seuil de cette année 2012 nos chaleureux voeux de santé, de bonheur et de prospérité, à tous les militantes et militants, à tous les combattantes et combattants, à tous les patriotes et à tout le peuple tchadien et ainsi qu’aux peuples frères et amis du Tchad.

Puisse l’Année 2012, être porteuse de libertés, de paix, de véritables Réconciliations Nationales et d’actions décisives pour lutter efficacement contre les aléas climatiques et les catastrophes naturelles, pour enrayer la famine et la malnutrition des enfants qui s’installent au Tchad de façon chronique et pour développer la santé, l’éducation et enfin pour jeter les bases d’une véritable économie garante de l’indépendance alimentaire et au profit du peuple.

 

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2012  

VIVE LE PEUPLE TCHADIEN !  

Le Président du RNDP

Dr. BACHAR ASSED Mohamed Aguid

 

Lire la suite en pdf: ICI

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A
<br /> Cher ZENI DJORKODE,<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Vous êtes un<br /> admirateur de Mme Toupta Boguena, et c’est votre droit le plus absolu. Mais ne venez pas sur le site nous servir des mensonges du genre : “When Boguena graduates this December and returns to Chad, she will be the first woman from her country with a<br /> PhD” qui se traduit par  « Lorsque Boguena obtiendra son diplôme en décembre et<br /> retournera au Tchad, elle sera la première femme du pays titulaire d’un PhD  ». Comment pouvez-vous imaginer qu’un pays indépendant depuis 1960 ne puisse produire sa première<br /> femme détentrice d’un doctorat que 50 années plus tard ? Admettons même que Mme Toupta soit la première tchadienne à avoir obtenu un<br /> doctorat, est-ce que cela donne droit à sa fille écervelée d’insulter tous les Tchadiens, y compris vous-même, si vous vous réclamez encore de ce pays ? Plus on a de gros diplômes, plus on<br /> doit être humble, et avoir des enfants bien éduqués. Cela manque malheureusement dans la famille.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Après avoir lu<br /> votre réaction, j’ai fait une recherche rapide sur les tchadiennes titulaires d’un doctorat, et j’ai trouvé certains noms, et pas des moindres. La liste n’étant pas exhaustive, je m’excuse auprès<br /> de nos sœurs dont les noms ne figurent pas ici :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> -          Dr Agnès<br /> Ildjima Lokiam, Présidente de l’Association des Femmes Africaines pour la Recherche et le Développement (AFARD), (visiter http://www.afard.org/allfichiers/echo21.pdf) ;<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> -          Dr Hélène Lambatim<br /> Younoudjoum, juriste, doctorat en Relations Internationales,<br /> (visiter http://www.cefod.org/spip.php?article1610);<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> -          Dr Nicole<br /> Froud Baptiste, doctorat en Pharmacie, (consulter http://www.cefod.org/spip.php?article1610);<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> -          Dr Ngabaye<br /> Ronelyam, (PhD 1994, Université de<br /> Pittsburgh) ;<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> -          Dr Antoinette<br /> Moalbaye<br />
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A
<br /> LA VISITE D'OMAR EL-BECHIR À TRIPOLI SUSCITE<br /> INTERROGATIONS ET CRITIQUES<br /> <br /> <br /> http://www.rfi.fr/afrique/20120108-visite-omar-el-bechir-tripoli-hrw<br /> <br /> <br /> Lire et écouter les commentaires pour décrypter<br /> l’hypocrisie de « La Communauté Internationale » quant aux décisions de justice qu’elle orchestre, via la CPI, à l’encontre des chefs d’état africain récalcitrants<br /> et/ou ayant des velléités de vouloir disposer des richesses de leur sous-sol à leur convenance pour le grand bien de leur peuple.<br /> <br /> <br /> Depuis octobre 2003, le pétrole de Doba coule<br /> directement dans les réservoirs des supers tankers qui l’acheminent vers les consommateurs des pays occidentaux. Les habitants du Tchad en général et de Doba-Komé (lieu d’extraction) en<br /> particulier ne bénéficient d’aucune goute de ce pétrole. Cf. http://www.rfi.fr/actufr/articles/046/article_24389.asp<br /> <br /> <br /> La Communauté Internationale<br /> qui profite grassement du pétrole tchadien ne va pas<br /> lâcher l’équipe qui lui en assure l’exclusivité. Pour enfoncer le clou : la vente de la part d’hydrocarbure qui revient au Tchad sera assurée par une bande de français des Haut-de-<br /> Seine. Lire : Balkany, Deby et la vente du pétrole tchadien  in  http ://www.tchadenligne.com/article-balkany-deby-et-la-vente-du-petrole-tchadien-93035997.html.<br /> <br /> <br /> MAIS QUE CELA NE NOUS EMPÊCHE PAS DE RÊVER<br /> D’UN TCHAD MEILLEUR POUR TOUS LES TCHADIENS.<br />
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A
<br /> Visite controversée du président soudanais Omar el-Béchir en Libye<br /> <br /> <br /> Par RFI : http://www.rfi.fr/afrique/20120107-visite-controversee-president-soudanais-omar-el-bechir-libye<br /> <br /> <br /> Le président du Soudan, Omar el-Béchir, en visite de deux jours en Libye, a été reçu ce samedi 7 janvier 2012 par les<br /> nouvelles autorités libyennes à Tripoli, alors qu’il est visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale. L'hospitalité qui lui a été réservée choque certains, comme l’organisation<br /> Human Rights Watch, qui ne ménage pas ses critiques.<br /> <br /> <br /> « Nous avons tous souffert de<br /> l'ancien régime », a déclaré Omar el-Béchir en arrivant à Tripoli. « Nous sommes les deuxièmes à avoir le plus souffert après le peuple libyen ». Le numéro un soudanais a sans doute besoin de<br /> justifier auprès des nouvelles autorités cette visite, lui qui en 2009 ne tarissait pas d'éloges sur le Guide libyen qui l'avait soutenu contre la Cour pénale internationale et accueilli en grandes pompes à Syrte.<br /> <br /> <br /> Mais les Etats n'ont pas d'amis, ils n'ont que des intérêts, c'est connu, et Omar el-Béchir n'ignorait pas que Mouhammar<br /> Kadhafi soutenait militairement les rebelles darfouris du MJE. Ces deux dernières années, les relations soudano-libyennes étaient d'ailleurs devenues tendues. Et lorsque le peuple libyen s'est<br /> soulevé, Omar el-Béchir n'a pas hésité à rendre à Kadhafi la monnaie de sa pièce. Il affirme aujourd'hui avoir livré des armes à ceux qui étaient encore les rebelles du CNT.<br /> <br /> <br /> Cette visite, si elle vise à établir de bonnes relations entre les deux pays qui partagent une frontière commune, permet aussi<br /> à Omar el-Béchir de défier une fois de plus la communauté internationale.<br /> <br /> <br /> Les Occidentaux ne sont sans doute pas ravis de voir le nouveau régime libyen accueillir un homme recherché par la Cour pénale<br /> internationale, la CPI. Ainsi, un responsable de Human Rights Watch estime qu'en accueillant Omar el-Béchir, le CNT envoie un message troublant quant à son engagement en matière<br /> des droits de l'homme et d'Etat de droit. Pour Human Rights Watch, le respect des droits de l'homme et la mémoire des centaines de milliers de victimes au Darfour sont prioritaires.<br /> <br /> <br /> http://www.rfi.fr/afrique/20120107-visite-controversee-president-soudanais-omar-el-bechir-libye<br />
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T
<br /> Zeni, Kafidé inti tu defends cette azaba qui a plaqué ton oncle après avoir eu la drole fille? Oui, elle a good smile, good whispir and good laught et quoi encore? Au lieu de jouer au malin,<br /> taisez et quemander vos pains du jours en Amérique qui vous accueille comme des necessiteux mais jamais comme des citoyens normaux. Lorsque Deby arrive labas, vous faites les pieds de grue et<br /> vous negociez de poste avec vos faux diplome..Kalawa à vous tous, renegats et apatrides qui cherchenbt de gain facile.<br />
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Z
<br /> My dear friends let me tell you about the person I have known for 13yrs. She is a good women very kind. She lived with us for 3 yrs. in<br /> Salt Lake City Utah after she graduated from BYU. Since<br /> then she has became head of the department of health in Chad. She may have made some mistakes in her managing the health department. But we cant hold it against her, she has also done some<br /> goodin<br /> managing the health department. Any person working with the manic President Deby would change. Here are some of the good things about her. I would hope you will take this in to consideration.<br /> TOUPTA Boguena is a pioneer.<br /> Instantly putting her guests at ease with her soft-spoken manner, contagious laugh, and amiable smile, this BYU PhD candidate in integrative biology seems too gentle to have passed through<br /> circumstances that most would have considered insurmountable.<br /> <br /> <br /> Born in the war-ravaged African country of Chad, she still remembers well the four years she spent as a refugee in Congo. "We lived in hiding," she recalls, her voice quieting to hardly more<br /> than<br /> a whisper. "I knew poverty and starvation firsthand."<br /> <br /> <br /> But Boguena has never allowed her circumstances to limit her future. She has forged new trails and crossed long-recognized borders.<br /> <br /> <br /> Her first steps toward Provo were taken as she watched her father, Noida Boguena, an agronomist, working with poor African farmers. He was so successful that, besides inspiring his daughter's<br /> career, the crop he introduced to Chad, the Taro plant, is still called "Boguena" in local dialects.<br /> <br /> <br /> But agronomy seemed an impossible goal, since there are no four-year universities in Chad and women are discouraged from seeking an education. An opportunity, however, did present itself.<br /> <br /> <br /> In 1986, a U.N. committee from New York traveled to Chad to interview applicants for five full-ride scholarships to American universities. At that time Boguena spoke three languages and<br /> several<br /> dialects, but English was not one of them. She applied for the scholarship anyway.<br /> <br /> <br /> Speaking through a translator, Boguena impressed the committee enough to earn a scholarship to the University of Arizona. Over the next 12 years, she learned English and earned bachelor's and<br /> master's degrees in agronomy. But something even more important, according to Boguena, happened in Arizona. On a whim, she decided to visit the local Church of Jesus Christ Spanish branch,<br /> where<br /> she was introduced to the sister missionaries. A few weeks later, she was baptized.<br /> <br /> <br /> After joining the church, she established connections with faculty at BYU, and in 1999, after being offered a research position by Susan Meyer, Utah Forest Service ecologist, she came to Provo<br /> to<br /> pursue a PhD. Under Meyer's direction, Boguena is trying to find a way to use a naturally occurring fungus to control nonnative cheatgrass populations that have spread across the West. If<br /> successful, the fungus could allow native species to take hold again. This could in turn reduce the number of wildfires, since cheatgrass, which grows thickly and dries out by June,<br /> drastically<br /> increases the likelihood and frequency of such fires.<br /> <br /> <br /> When Boguena graduates this December and returns to Chad, she will be the first woman from her country with a PhD. But she'll have little time to celebrate. Her country is still entangled in<br /> political turmoil, and she has no guarantee of a job. Yet Boguena remains optimistic.<br /> <br /> <br /> "I have something to give my community. It's great to imagine helping the agricultural system."<br /> <br /> <br /> With her new faith, Boguena also faces challenges of a different sort. "I am the only member in Chad that I know of. I'm really hoping that missionaries can come there one day. Until then,<br /> I'm<br /> mailing the Book of Mormon and the lessons home constantly. After I return, I see missionary work as one of my main focuses."<br /> <br /> <br /> Despite the uncertainty of her future, Toupta Boguena is ready. "Nothing is impossible," she states confidently, thinking of her role in her homeland. "As a Christian, I always believe that<br /> things can get better."<br /> <br /> <br /> <br /> Zeni M. DJORKODE<br /> Salt Lake City Utah<br />
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