Suite à la lettre de la commission de contrôle de l’effectif des agents de la fonction publique adressée aux entreprises privées et para étatiques leur demandant de mettre à la disposition de l’État ses agents qui exercent dans le privé, la société de la téléphonie mobile AIRTEL, qui cherchait aussi cette occasion pour se débarrasser de ses employés ayant plus de 7 ans d’ancienneté, saute sur le tremplin, afin de faire des économies n’a pas attendu une minute pour mettre à la porte huit de ses cadres. Et c’est au moment ou l’on s’apprête à célébrer la paix au Tchad qu’Airtel a choisi de semer la haine dans les foyers de ses employés car ses employés ont été renvoyés sans leurs droits sociaux plus un an de salaire selon la convention d’entreprise d’Airtel. Et c’est également pendant que les hautes autorités du pays parlent de la paix à tous les niveaux qu’Airtel choisit pour semer la haine dans ces différentes familles, malgré une correspondance envoyée par le Ministère de la fonction Publique, demandant aux employeurs de sursoir, a cette procédure, a cause des négociations en cours. Ce qui fait dire que cette société de la téléphonie mobile voudrait sciemment créer une autre tension sociale comme se voyant au dessus des lois de la République. Comment comprendre que les cadres qui ont servit AIRTEL, pendant une dizaine d’années soient remerciés vite fait et mal fait, sans doits sociaux…. L’état tchadien a pourtant ouvert la brèche pour permettre aux employés a doubles emplois de décider et de choisir, alors que AIRTEL, comme beaucoup d’employeurs ingrats ont vite pris part pour régler les comptes aux siens.