3 Février 2013
La nation tchadienne respecte une jeunesse qui veut un changement courageux, parce que celui-ci concernent l’avenir de son pays. Elle ne veut une jeunesse spectatrice, mais une qui participe, gouverné et prend de décisions qui concernent les gens. Elle devienne une partie prenante puisque leurs vies en sont affectées
Le dictateur Deby au Tchad est un fléau régional. L’auteur de ces crimes ne font aucun cas du caractère sacre de la vie humain, et nous, jeunes des démocrates du Tchad, devons-nous ressembler pour vaincre et éradiquer la dictature, qui est devenue une colonisation interne. Cette guerre n’est celle de l’occident contre le terrorisme, mais celle des jeunes libres et démocrates contre le tyran tchadien. En conséquence, nous les jeunes tchadiens faisons front commun avec nos frères centrafricain, soudanais, congolais dans cette tragédie, et comme eux, nous aurons sans cesse de débarrasser les dictateurs anti-démocratiques.
Les jeunes tchadiens pensent vraiment que le régime n’est pas assez domine par les soudanais, pourquoi soutiennent-ils les oppositions tchadiennes ? Par peur ou stupidité ? Parce qu’ils pensent qu’avec Deby les tchadiens seront plus au Tchad que le Darfour ? Vous voulez vraiment nous faire croire que les tchadiens sont stupides à ce point ? Pourtant, c’était bien de cela qu’il agissait. De plus, il y a des jeunes qui ont pu se débarrasser de gangsters Moubarak, d’Abdoulaye Wade, Kadhafi et Bin Ali, pourquoi ne faites pas de même avec le Deby. Pour des raisons qu’on a vraiment comprises, les pays démocratiques continuent à le soutenir le dictateur Deby ! En politique dommage, le seul soutien qui compte est celle de sa nation et de sa patrie.
Deby serait attrape par son passe de trahison. Il n’y a pas pire insulte pour un homme politique tchadien que d’être compare à lui. Dans un Tchad encore traumatise par la dictature, une dictature qui avait fait des milliers de victimes, parmi lesquelles des membres de famille et des amis proches, il a pleuré ses morts et aussi il a tué plus milliers de tchadiens, parmi les victimes les femmes, des hommes, des enfants…
Les jeunes tchadiens, le choix entre faire la guerre de libération ou rester esclave, vous est imposé, la confrontation est pratiquement inévitable. Vous ne vous rendez donc pas compte que nous sommes en train régressés sur tous les plans : économiques, politiques et sociaux. Vous tenez vraiment à endosser la responsabilité d’un échec du Tchad ?
Février le 2-2013
Par Gourbal Djiddi Nokour/ Président du P.A.R