Déchéance de Kebzabo, acte II: Voici comment le journaliste Juda Allahondoum s'est engagé aux côtés de Baltazar et Avenir pour détruire Kebzabo

Triste réalité, Balthazar est une peste. Pour mener à bien sa mission de combattre Kebzabo, le rapporteur du CNDP a eu recours aux services des journalistes Avenir de la Tchiré du journal Abba Garde et de Juda Allahondoum du journal Le Visionnaire. Ces deux journalistes qui s'etaient fait proches de Kebzabo à un moment,  étaient en réalité des infiltrés au service du pouvoir MPS. Dans l'audio que la rédaction vous propose aujourd'hui, le journaliste Judas se vante d'avoir descendu le président de l'UNDR et ex chef de file de l'opposition. Balthazar lui remercie et l'informe qu'il va bientôt ouvrir un débat sur la possibilité de déchoir Kebzabo de son titre de chef de l'opposition démocratique. Il dit au passage que Mahamat Zen Bada lui a envoyé un message pour les remercier de la solidarité dans le combat. Il confie aussi à Juda un prétendu échange entre Saleh Kebzabo et Avenir de la Tchiré. Ils promettent intensifier leurs efforts pour compliquer les choses à Kebzabo. Balthazar est une fabrication démoniaque. Non seulement, il a torturé et humilié sa ma propre mère en lui arrachant le pagne qui couvrait sa nudité, il est sadique et s'associe avec Avenir de la Tchiré pour clouer le peuple tchadien. 

Juda Allahondoum,  Avenir de la Tchiré et Balthazar forment un front contre l'opposition tchadienne. Aujourd'hui que le journal Abba Garde est suspendu, Avenir de la Tchiré demande l'aide de la société civile et de l'opposition que lui-même combat. Le journal Abba Garde est un instrument du MPS et si ce parti décide de le fermer, c'est son problème et non le problème du peuple. Quand à Juda Allahondoum, son journal et sa radio sont financés par Abakar Tahir Moussa alias ALMANA pour rendre service au pouvoir. Il n'y a donc rien qui puisse surprendre. Suivez la conversation entre Judas et Balthazar dans cet audio, conversation tantôt en français et en ngambaye et faites votre propre opinion. Nous y reviendrons

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